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15 août 2006 2 15 /08 /août /2006 18:45

Décidément, ces temps-ci, il n'est pas bon de partir à l'aventure, camper dans des endroits reculés.
Après le désert californien (ou plutôt marocain puisque le film a été tourné au Maroc) du remake de la Colline a des Yeux, nous voici donc à suivre les belles petites vacances de trois jeunes touristes dans le désert australien.
Dans le rôle du grand méchant Loup, à la différence du film d'Aja, pas de "peuple" irradié façon mutants de la planète Zoxor, juste un bouseux complètement taré et légèrement "touristophobe".

En gros, l'histoire de Wolf Creek raconte comment deux anglaises et un australien, emballés à l'idée de traverser l'Australie à bord d'une vieille bagnole, se sont retrouvés entre les mains d'un serial killer adepte d'armes en tout genre, une sorte de "Crocodile Dundee" à la retraite.

Le film est sympathique à regarder mais loin d'être insoutenable (comme l'indique l'affiche).

Certes, on aimerait moyennement être à la place de ces jeunes gens mais on est à mille lieux de l'effroi que suscitent la Maison des 1000 Morts ou la Colline a des Yeux par exemple.
Les scènes gore se laissent regarder sans trop de dégoût pour qui est habitué à ce genre de "spectacle" et la tension est assez peu palpable.
Le jeu des acteurs est bon mais beaucoup trop de clichés rendent finalement le film trop convenu et assez moyen.
Ceci dit, malgré la beauté des paysages, ça ne donne pas envie de passer ses vacances dans le bush australien surtout lorsque l'on sait que l'histoire est inspirée de faits réels encore plus terribles. 

Vive le camping sauvage !



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14 août 2006 1 14 /08 /août /2006 20:57

    

Quel film découle de ces 5 images ?

Réponse



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13 août 2006 7 13 /08 /août /2006 10:57

Un peu à la manière d'Un Plan simple (1998), Bleu d'Enfer raconte l'histoire de plongeurs hors pair - ils peuvent quand même rester 2h sous l'eau sans respirer - qui trouvent l'épave d'un avion bourré de cocaïne. La fortune à portée de main, l'appât du gain des uns va provoquer la chute des autres.
La comparaison avec le film de Sam Raimi s'arrête là tant Bleu d'Enfer met malheureusement 1h30 à "émerger" de cet océan de platitude.
1h30 durant laquelle on a droit à un petit documentaire de plongée où l'on voit quatre sourires "ultrabrite" nager parmi les petits poissons bleus et jaunes et accessoirement rechercher l'épave d'un gallion du 19ème siècle.
C'est bien joli tout ça mais pour 9 euros, je préfère me payer 10 mn de plongée grandeur nature !
Bref, le scénario manque cruellement de mordant et d'originalité.
L'intrigue est sans surprise et doit tenir sur deux feuilles de papier-cul.
Restent les décors sympathiques, même si la profondeur de l'endroit donne plutôt l'impression que le film a été tourné à la piscine municipale du coin, et le sourire de Jessica Alba dont la performance d'actrice ne restera pas dans les annales du cinéma...

Bleu d'Enfer un film à boire en temps de canicule... uniquement.



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11 août 2006 5 11 /08 /août /2006 23:24

"Si vous voulez vraiment devenir de bons dodgeballers, vous devez connaître les 5 phases du Dodgeball: Eviter, Esquiver, Ecarter, Eluder et... Eviter. Si vous maîtrisez ces 5 phases, aucun dodgeballer au monde ne pourra rien contre vous."  

Patches O'Houlihan (interprété par Rip Torn dans le film Dodgeball/Même pas mal)



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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 11:59

Un an après le premier épisode, Guybrush Threepwood remet le couvert. Car, c'est bien connu, la vengeance est un plat qui se mange froid et LeChuck, le pirate mort-vivant, compte bien passer à table !

LeChuck's Revenge est la suite logique du précédent volet.
Notre héros est devenu un véritable chasseur de trésors et sa nouvelle obsession a pour nom Big Whoop, le plus grand de tous.
Pour accomplir sa quête, Guybrush devra retrouver quatre bouts de cartes éparpillés sur trois îles.
Un loisir plutôt sympa si on oublie que LeChuck a la ferme intention de se venger...

  

Ce nouveau jeu de la série pousse encore plus loin le niveau de qualité du premier.
Les animations sont encore plus détaillées et la bande son, encore une fois, à la hauteur de l'évènement.
Désormais, 256 couleurs (sic !) composent la palette graphique.
Les environnements sont tout bonnement magnifiques et le style cartoon est parfaitement en adéquation avec l'humour ravageur du jeu (concours de crachats mémorable, clins d'oeil à Indiana Jones, anachronismes...).



Les énigmes sont encore plus tordues et le scénario de l'aventure plus délirant que celui du précédent.
On retrouve de nombreux personnages du premier épisode comme Stan qui s'est reconverti en vendeur de cercueils.
Et la fin du jeu est la plus burlesque qui m'ait été donnée de voir dans un jeu vidéo.
Avec cet épisode, on frise vraiment la perfection dans le domaine du jeu d'aventure et à ce jour, aucun jeu ne l'a vraiment concurrencé.

 

Enfin, tout comme son prédecesseur, LeChuck's Revenge est devenu un "abandonware" (un logiciel que l'on considère comme abandonné par son éditeur, plus en vente par exemple).
De ce fait, il est possible de le télécharger gratuitement et légalement.
Alors pourquoi s'en priver puisque le fichier ne fait que 6.4 Mo ?!
Par ailleurs, le logiciel ScummVM apporte des améliorations notables dans le graphisme et le son afin de mieux adapter le jeu aux technologies actuelles.


        



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7 août 2006 1 07 /08 /août /2006 11:59


Affiche de quel film ?

Réponse
(Azazell)



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5 août 2006 6 05 /08 /août /2006 22:59

A l'occasion de la sortie au cinéma du second volet des Pirates des Caraïbes, il était de bon ton de nous remémorer cette fabuleuse série vidéoludique des Monkey Island.
Il existe d'ailleurs de nombreuses analogies entre les deux (histoires de fantômes pirates) puisque tous deux sont inspirés d'une attraction d'un parc d'attraction américain.
Développés par le studio LucasArts, ces jeux d'aventure mettent en scène Guybrush Threepwood, un jeune "pirate" en quête de sensations fortes et de grog.



Le 1er volet de la série, The Secret of Monkey Island (1990), a indéniablement marqué les esprits.
Même si à cette époque, le jeu d'aventure "Point and Click" vit pleinement ses heures de gloire (Sierra et Lucasarts faisant le bonheur des amateurs), le jeu de "pirates" a fait l'unanimité grâce à ses graphismes magnifiques (pour l'époque), ses animations formidables et surtout son ambiance à la fois drôle et exotique. Ici, les duels à l'épée ne se gagnent pas grâce à une meilleure dextérité mais plutôt à des insultes qui font mouche.
Les dialogues sont d'ailleurs des merveilles de drôlerie.

  

Pour en revenir à l'histoire, le joueur dirige Guybrush Threepwood, un jeune homme dont le rêve est de devenir pirate, un vrai pirate couillu craint par tous.
Seulement pour ce jeune marin d'eau douce, il va falloir faire ses preuves: trouver un trésor, voler quelque chose et savoir se battre à l'épée.
D'aventure en aventure, notre jeune moussaillon va découvrir du pays, rencontrer sa bien aimée, Elaine Marley, et affronter son ennemi intime, le "un peu beaucoup mort" LeChuck.

Désormais "abandonware" (un logiciel que l'on considère comme abandonné par son éditeur, plus en vente par exemple), la version "CD" (le jeu étant sorti sur disquettes) est téléchargeable gratuitement et légalement et ne pèse que 3Mo.
La particularité de cette version se situe au niveau de la refonte de l'interface avec notamment la présence d'icônes à la place de texte pour représenter les objets.

Certes les graphismes sont à des années lumières des productions actuelles (cependant il est possible de les affiner avec le petit logiciel ScummVM) mais ce jeu de 16 ans d'âge a suffisamment d'intérêt pour tenir en haleine tout fan de jeux d'aventure !
Il ne faut non plus oublier la bande son qui, même si elle surprend au premier abord faute de voix enegistrées, est splendide, notamment le thème principal tout en percussions.

The Secret of Monkey Island est une petite merveille à la fois drôle et passionnante qui a amplement sa place au Panthéon des jeux vidéo.

L'essayer c'est l'adopter.

      



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4 août 2006 5 04 /08 /août /2006 00:35

A quelques jours de la sortie au cinéma de Bleu d'Enfer, j'avais envie de reparler un peu d'Un Plan Simple, film de Sam Raimi sorti en 1999 avec Bill Paxton, Billy Bob Thornton et Bridget Fonda.
Pourquoi revenir sur Un Plan Simple ?
Tout simplement parce que le pitch de Bleu d'Enfer est assez similaire.
Deux frères et un ami découvrent l'épave d'un avion enfoui sous la neige avec à son bord la coquette somme de 4 millions de dollars.
Les trois hommes décident de garder le secret et de partager l'argent plus tard. Mais tout ne se passe pas comme prévu...
Véritable rouleau compresseur, ce film est l'adaptation assez fidèle du roman éponyme de Scott Smith bien que moins destructrice que ce dernier. On peut d'ailleurs se féliciter que le romancier ait adapté lui même son roman noir sur grand écran.
Les acteurs campent parfaitement leur rôle notamment Billy Bob Thornton, l'homme aux mille visages (toujours aussi) impeccable dans ce rôle de benet. La bande son signée Danny Elfman (époux de Bridget Fonda et compositeur attitré de Tim Burton) colle admirablement à l'action du film et rend l'ambiance encore un peu plus pesante.

  Petit bijou noir corbeau disponible en DVD



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3 août 2006 4 03 /08 /août /2006 21:04

     

Quel est le point commun de ces 6 vignettes ?

Réponse
(Azazell)



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3 août 2006 4 03 /08 /août /2006 07:00

"Un geek, ça n’est avant tout qu’un homme assisté par ordinateur (H.A.O.)"   copinedegeek.com

Phénomène de mode ou phénomène de société ?

En fait, nous sommes tous un petit peu geek(*).
Même toi qui lis mon blog tous les jours (du moins j'espère !), tu as du geek dans le sang. Il ne faut pas se voiler la face. Avec l'importance que prend Internet de nos jours, sa polyvalence, il est aisé de se passer du reste (enfin ça dépend quoi). 
En clair, si tu passes ton temps derrière ton PC, si tu préféres surfer sur le net plutôt que surfer à Lacanau ou jouer au foot sur Pro Evolution Soccer 5 plutôt que sur une pelouse, si tes blagues préférées tournent autour de Bill Gates et non des blondes, si tu connais par coeur le Seigneur des anneaux, Star Wars ou Matrix, si tu balances ta paye dans les nouvelles technologies, si tu collectionnes toutes les versions de la Game Boy Advance, si tu changes de slip à chaque fois que Chronopost te livre le tout dernier lecteur mp3 avec micro onde intégré, si ton plat préféré est la pizza 4 fromages noyée à la bière ou si tu dors sur ton clavier, alors ce n'est pas la peine de faire ce sondage,... tu es un Nerd(*), c'est pire !

- Si tu ne veux rien louper des nouvelles technologies: http://www.journaldugeek.com/
- Si tu es une copine de Geek, ce site truffé d'anecdotes amusantes est fait pour toi: http://www.copinedegeek.com/
- Si tu veux écrire le Leet ou 1337, langage geek, voici un traducteur super efficace:  http://spins.us/tools/l33t.asp
- Enfin, même le Geek a son émission de Télé-Réalité: http://thewb.warnerbros.com/batg/

Bref, le Geek est partout tout en étant seul derrière son PC.
C'est ça le G33k P0w3r !


(*) un Geek est une personne passionnée voire obsédée par un domaine précis (le plus souvent l'informatique et les nouvelles technologies) tandis qu'
un Nerd est plus asocial et plus passionné encore.



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